Passer au contenu
Accueil
Livres
L'art en écrit
Hypothèses d'art
Wide Open
Estampes
Naked
Autoportrait
Collection 127
À propos
Les éditions jannink
Expositions
Archives et amis
Contact
éditions jannink
0
0
Accueil
Livres
L'art en écrit
Hypothèses d'art
Wide Open
Estampes
Naked
Autoportrait
Collection 127
À propos
Les éditions jannink
Expositions
Archives et amis
Contact
éditions jannink
0
0
Accueil
Dossier : Livres
Retour
L'art en écrit
Hypothèses d'art
Wide Open
Dossier : Estampes
Retour
Naked
Autoportrait
Collection 127
Dossier : À propos
Retour
Les éditions jannink
Expositions
Archives et amis
Contact
L'art en écrit Alain Declercq
couv_declercq.jpeg Image 1 sur 3
couv_declercq.jpeg
œuvre_declerq.jpeg Image 2 sur 3
œuvre_declerq.jpeg
livreoeuvredeclercq.jpg Image 3 sur 3
livreoeuvredeclercq.jpg
couv_declercq.jpeg
œuvre_declerq.jpeg
livreoeuvredeclercq.jpg

Alain Declercq

À partir de 12,00 €

Boum Julie

« L’art en écrit », volume 83
2012
48 pages, broché, jaquette

Alain Declercq, qui transpose habituellement le roman noir dans le champ des arts plastiques, change de mode opératoire et publie son premier polar. Les réalisations d'Alain Declercq viennent du quotidien, d'une sorte de paranoïa qui le pousse à s'intéresser au pouvoir, aux forces de l'ordre et aux lois. Son texte, publié aux éditions jannink, est le premier polar de la collection « L'art en écrit ». Dans l'esprit de Niki de Saint-Phalle, Chris Burden, ou encore de Jacques Monory, il nous propose un travail revendicatif, agissant sur les faits et objets de la réalité, transposant le roman noir dans le champ des arts plastiques. L'auteur, plus habitué à s'exprimer dans les arts visuels, change de mode opératoire tout en conservant cette violence du quotidien qu'il montre avec assiduité. Avec Boum Julie, il nous embarque dans un récit de contre-espionnage, où conspirations, violences, meurtres et armes font la loi. Et lorsque l'on sait qu'en 2005 la brigade anti-terroriste a assailli son atelier, le pensant membre du réseau Al Qaïda, on peut se demander où s'arrête la fiction et où commence la réalité. Alain Declercq (né en 1969 à Moulins, vit et travaille à Paris et à New York) a su imposer son travail sur la scène artistique en affirmant une pratique où la manipulation du visible devient l'objet d'intrigue perceptive. Installations, photographies, dessins, films sont autant de moyens pour explorer les langages du pouvoir et des oppressions qu'ils engendrent. Avec humour, souvent ironie, Alain Declercq se joue des schizophrénies sécuritaires, comme des dispositifs de surveillance. Pour inquiéter la réalité, dévoiler les dispositifs, toutes les stratégies sont offertes : filature, infiltration, enquête. Autant de techniques relevant du roman d'espionnage qu'Alain Declercq a su réinvestir dans ses pièces comme dans les dispositifs d'exposition eux-mêmes. L’édition de tête de l'ouvrage est accompagnée d'un dessin unique dans chaque exemplaire.

Tirage : 288 exemplaires + édition courante
Format : 125 x 210 mm (française)
ISBN : 978-2-916067-73-5 (édition de tête) 978-2-916067-74-2 (édition courante)

Couleur:
Quantité:
Ajouter au panier

Boum Julie

« L’art en écrit », volume 83
2012
48 pages, broché, jaquette

Alain Declercq, qui transpose habituellement le roman noir dans le champ des arts plastiques, change de mode opératoire et publie son premier polar. Les réalisations d'Alain Declercq viennent du quotidien, d'une sorte de paranoïa qui le pousse à s'intéresser au pouvoir, aux forces de l'ordre et aux lois. Son texte, publié aux éditions jannink, est le premier polar de la collection « L'art en écrit ». Dans l'esprit de Niki de Saint-Phalle, Chris Burden, ou encore de Jacques Monory, il nous propose un travail revendicatif, agissant sur les faits et objets de la réalité, transposant le roman noir dans le champ des arts plastiques. L'auteur, plus habitué à s'exprimer dans les arts visuels, change de mode opératoire tout en conservant cette violence du quotidien qu'il montre avec assiduité. Avec Boum Julie, il nous embarque dans un récit de contre-espionnage, où conspirations, violences, meurtres et armes font la loi. Et lorsque l'on sait qu'en 2005 la brigade anti-terroriste a assailli son atelier, le pensant membre du réseau Al Qaïda, on peut se demander où s'arrête la fiction et où commence la réalité. Alain Declercq (né en 1969 à Moulins, vit et travaille à Paris et à New York) a su imposer son travail sur la scène artistique en affirmant une pratique où la manipulation du visible devient l'objet d'intrigue perceptive. Installations, photographies, dessins, films sont autant de moyens pour explorer les langages du pouvoir et des oppressions qu'ils engendrent. Avec humour, souvent ironie, Alain Declercq se joue des schizophrénies sécuritaires, comme des dispositifs de surveillance. Pour inquiéter la réalité, dévoiler les dispositifs, toutes les stratégies sont offertes : filature, infiltration, enquête. Autant de techniques relevant du roman d'espionnage qu'Alain Declercq a su réinvestir dans ses pièces comme dans les dispositifs d'exposition eux-mêmes. L’édition de tête de l'ouvrage est accompagnée d'un dessin unique dans chaque exemplaire.

Tirage : 288 exemplaires + édition courante
Format : 125 x 210 mm (française)
ISBN : 978-2-916067-73-5 (édition de tête) 978-2-916067-74-2 (édition courante)

Boum Julie

« L’art en écrit », volume 83
2012
48 pages, broché, jaquette

Alain Declercq, qui transpose habituellement le roman noir dans le champ des arts plastiques, change de mode opératoire et publie son premier polar. Les réalisations d'Alain Declercq viennent du quotidien, d'une sorte de paranoïa qui le pousse à s'intéresser au pouvoir, aux forces de l'ordre et aux lois. Son texte, publié aux éditions jannink, est le premier polar de la collection « L'art en écrit ». Dans l'esprit de Niki de Saint-Phalle, Chris Burden, ou encore de Jacques Monory, il nous propose un travail revendicatif, agissant sur les faits et objets de la réalité, transposant le roman noir dans le champ des arts plastiques. L'auteur, plus habitué à s'exprimer dans les arts visuels, change de mode opératoire tout en conservant cette violence du quotidien qu'il montre avec assiduité. Avec Boum Julie, il nous embarque dans un récit de contre-espionnage, où conspirations, violences, meurtres et armes font la loi. Et lorsque l'on sait qu'en 2005 la brigade anti-terroriste a assailli son atelier, le pensant membre du réseau Al Qaïda, on peut se demander où s'arrête la fiction et où commence la réalité. Alain Declercq (né en 1969 à Moulins, vit et travaille à Paris et à New York) a su imposer son travail sur la scène artistique en affirmant une pratique où la manipulation du visible devient l'objet d'intrigue perceptive. Installations, photographies, dessins, films sont autant de moyens pour explorer les langages du pouvoir et des oppressions qu'ils engendrent. Avec humour, souvent ironie, Alain Declercq se joue des schizophrénies sécuritaires, comme des dispositifs de surveillance. Pour inquiéter la réalité, dévoiler les dispositifs, toutes les stratégies sont offertes : filature, infiltration, enquête. Autant de techniques relevant du roman d'espionnage qu'Alain Declercq a su réinvestir dans ses pièces comme dans les dispositifs d'exposition eux-mêmes. L’édition de tête de l'ouvrage est accompagnée d'un dessin unique dans chaque exemplaire.

Tirage : 288 exemplaires + édition courante
Format : 125 x 210 mm (française)
ISBN : 978-2-916067-73-5 (édition de tête) 978-2-916067-74-2 (édition courante)

éditions jannink
127, rue de la Glacière
75013 Paris
+33 (0)1 45 89 14 02
contact@editions-jannink.com