Scurti

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Sept à sept

« L’art en écrit », volume 64
2005
48 pages, broché, jaquette

Si l'on pouvait lui dégager une paternité, Franck Scurti (né à Lyon en 1965, vit et travaille à Paris) se réclamerait de Picabia, Raymond Hains, Marcel Broodthaers, Jacques Tati ou Francis Ponge, qui lui a « appris à regarder les objets, à les analyser, à les perdre en eux-mêmes, puis à les réévaluer ». Son travail, inspiré de la réalité quotidienne et de l'actualité internationale, tire parti des formes produites par l'univers de la consommation et de la civilisation urbaine. Déconcertant autant par sa diversité (du gribouillis au véhicule customisé, en passant par l'objet bricolé ou la vidéo, Scurti n'ignore pratiquement aucun médium en usage dans l'art) que par une apparente absence d'unité stylistique, son œuvre est une entreprise de mise en situation de soi (Patrick Javault), entre le réel et ses représentations, par rapport à des enjeux esthétiques, historiques ou économiques mais aussi par rapport aux choses et aux événements. Autant d'éléments du monde qui déterminent le quotidien de l'individu, en même temps qu'ils offrent la possibilité d'imaginer sa vie comme œuvre d'art (ne serait-ce, par exemple, qu'en croisant l'aléatoire hérité de Dada ou de Fluxus avec les règles de la productivité ou la grille moderniste) : une perspective libératrice d'improvisation qui n'ignore pas les différents modèles qui la référencient et qui lui donnent une assise culturelle. Réflexions de Franck Scurti sur son travail et sur le monde de l'art aujourd'hui, au travers de sept conversations. L’édition de tête est accompagnée d'une pièce unique signée, créée à partir d'un choix varié de sous-verres récupérés par l'auteur et provenant de différents cafés français ou étrangers.

Tirage : 285 exemplaires + édition courante
Format : 125 x 210 mm (française)
ISBN : 978- 2-916067-08-6 (édition de tête) 978-2-91606-708-7 (édition courante)

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« L’art en écrit », volume 64
2005
48 pages, broché, jaquette

Si l'on pouvait lui dégager une paternité, Franck Scurti (né à Lyon en 1965, vit et travaille à Paris) se réclamerait de Picabia, Raymond Hains, Marcel Broodthaers, Jacques Tati ou Francis Ponge, qui lui a « appris à regarder les objets, à les analyser, à les perdre en eux-mêmes, puis à les réévaluer ». Son travail, inspiré de la réalité quotidienne et de l'actualité internationale, tire parti des formes produites par l'univers de la consommation et de la civilisation urbaine. Déconcertant autant par sa diversité (du gribouillis au véhicule customisé, en passant par l'objet bricolé ou la vidéo, Scurti n'ignore pratiquement aucun médium en usage dans l'art) que par une apparente absence d'unité stylistique, son œuvre est une entreprise de mise en situation de soi (Patrick Javault), entre le réel et ses représentations, par rapport à des enjeux esthétiques, historiques ou économiques mais aussi par rapport aux choses et aux événements. Autant d'éléments du monde qui déterminent le quotidien de l'individu, en même temps qu'ils offrent la possibilité d'imaginer sa vie comme œuvre d'art (ne serait-ce, par exemple, qu'en croisant l'aléatoire hérité de Dada ou de Fluxus avec les règles de la productivité ou la grille moderniste) : une perspective libératrice d'improvisation qui n'ignore pas les différents modèles qui la référencient et qui lui donnent une assise culturelle. Réflexions de Franck Scurti sur son travail et sur le monde de l'art aujourd'hui, au travers de sept conversations. L’édition de tête est accompagnée d'une pièce unique signée, créée à partir d'un choix varié de sous-verres récupérés par l'auteur et provenant de différents cafés français ou étrangers.

Tirage : 285 exemplaires + édition courante
Format : 125 x 210 mm (française)
ISBN : 978- 2-916067-08-6 (édition de tête) 978-2-91606-708-7 (édition courante)

Sept à sept

« L’art en écrit », volume 64
2005
48 pages, broché, jaquette

Si l'on pouvait lui dégager une paternité, Franck Scurti (né à Lyon en 1965, vit et travaille à Paris) se réclamerait de Picabia, Raymond Hains, Marcel Broodthaers, Jacques Tati ou Francis Ponge, qui lui a « appris à regarder les objets, à les analyser, à les perdre en eux-mêmes, puis à les réévaluer ». Son travail, inspiré de la réalité quotidienne et de l'actualité internationale, tire parti des formes produites par l'univers de la consommation et de la civilisation urbaine. Déconcertant autant par sa diversité (du gribouillis au véhicule customisé, en passant par l'objet bricolé ou la vidéo, Scurti n'ignore pratiquement aucun médium en usage dans l'art) que par une apparente absence d'unité stylistique, son œuvre est une entreprise de mise en situation de soi (Patrick Javault), entre le réel et ses représentations, par rapport à des enjeux esthétiques, historiques ou économiques mais aussi par rapport aux choses et aux événements. Autant d'éléments du monde qui déterminent le quotidien de l'individu, en même temps qu'ils offrent la possibilité d'imaginer sa vie comme œuvre d'art (ne serait-ce, par exemple, qu'en croisant l'aléatoire hérité de Dada ou de Fluxus avec les règles de la productivité ou la grille moderniste) : une perspective libératrice d'improvisation qui n'ignore pas les différents modèles qui la référencient et qui lui donnent une assise culturelle. Réflexions de Franck Scurti sur son travail et sur le monde de l'art aujourd'hui, au travers de sept conversations. L’édition de tête est accompagnée d'une pièce unique signée, créée à partir d'un choix varié de sous-verres récupérés par l'auteur et provenant de différents cafés français ou étrangers.

Tirage : 285 exemplaires + édition courante
Format : 125 x 210 mm (française)
ISBN : 978- 2-916067-08-6 (édition de tête) 978-2-91606-708-7 (édition courante)