Les collages de Karl Waldmann

40,00 €

Jean-Philippe Cazier (ed.)

Première publication d'envergure consacrée aux collages retrouvés du mystérieux artiste germano-soviétique, dont la charge politique – contre le nazisme autant que le stalinisme – n'épuise ni la puissance esthétique ni la multiplicité des significations, avec cinq essais de philosophes et d'écrivains.

Bien que Karl Waldmann soit disparu dans les années 1950 son œuvre n'a été découverte que récemment, à la fin des années 1980. Si cette œuvre s'impose immédiatement par sa force et sa beauté, c'est aussi sa singularité qui retient l'attention : entre Dada et le Constructivisme, sa place dans l'histoire de l'art parait singulière, singularité qui tient également au fait que cette œuvre est constituée essentiellement d'une forme d'expression marginale, le collage. Ce livre, le premier consacré au travail de Waldmann, présente une série d'études qui interrogent l'originalité de cette œuvre, son rapport à l'histoire de l'art, ses choix formels et thématiques, mais qui mettent également en évidence les questions que cette œuvre pose au sujet de la notion d'auteur, du rapport de l'art à l'Histoire et à la politique, du jugement esthétique, de la philosophie de l'art et de l'image. Par tous ces aspects, l'œuvre de cet artiste jusqu'alors inconnu apparaît étonnamment proche de certains des questionnements actuels de l'art et de la philosophie esthétique.

Karl Waldmann serait né entre 1890 et 1900 près de Dresde et aurait disparu en URSS vers 1958, sans doute dans un camp de travail. Son œuvre n'a été exhumée qu'après la chute du Mur de Berlin, comme l'une des dernières découvertes du constructivisme.

Textes de Jean-Philippe Cazier, Stéphane Massonet, Ange-Henri Pieraggi, Adnen Jdey, Fabien Defendini, Pascal Polar.

Publié avec Artvox édition, Bruxelles.

paru en mai 2011
21,8 x 22,6 cm (relié)
168 pages (99 ill. coul.)
ISBN : 978-2-916067-52-0

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Jean-Philippe Cazier (ed.)

Première publication d'envergure consacrée aux collages retrouvés du mystérieux artiste germano-soviétique, dont la charge politique – contre le nazisme autant que le stalinisme – n'épuise ni la puissance esthétique ni la multiplicité des significations, avec cinq essais de philosophes et d'écrivains.

Bien que Karl Waldmann soit disparu dans les années 1950 son œuvre n'a été découverte que récemment, à la fin des années 1980. Si cette œuvre s'impose immédiatement par sa force et sa beauté, c'est aussi sa singularité qui retient l'attention : entre Dada et le Constructivisme, sa place dans l'histoire de l'art parait singulière, singularité qui tient également au fait que cette œuvre est constituée essentiellement d'une forme d'expression marginale, le collage. Ce livre, le premier consacré au travail de Waldmann, présente une série d'études qui interrogent l'originalité de cette œuvre, son rapport à l'histoire de l'art, ses choix formels et thématiques, mais qui mettent également en évidence les questions que cette œuvre pose au sujet de la notion d'auteur, du rapport de l'art à l'Histoire et à la politique, du jugement esthétique, de la philosophie de l'art et de l'image. Par tous ces aspects, l'œuvre de cet artiste jusqu'alors inconnu apparaît étonnamment proche de certains des questionnements actuels de l'art et de la philosophie esthétique.

Karl Waldmann serait né entre 1890 et 1900 près de Dresde et aurait disparu en URSS vers 1958, sans doute dans un camp de travail. Son œuvre n'a été exhumée qu'après la chute du Mur de Berlin, comme l'une des dernières découvertes du constructivisme.

Textes de Jean-Philippe Cazier, Stéphane Massonet, Ange-Henri Pieraggi, Adnen Jdey, Fabien Defendini, Pascal Polar.

Publié avec Artvox édition, Bruxelles.

paru en mai 2011
21,8 x 22,6 cm (relié)
168 pages (99 ill. coul.)
ISBN : 978-2-916067-52-0

Jean-Philippe Cazier (ed.)

Première publication d'envergure consacrée aux collages retrouvés du mystérieux artiste germano-soviétique, dont la charge politique – contre le nazisme autant que le stalinisme – n'épuise ni la puissance esthétique ni la multiplicité des significations, avec cinq essais de philosophes et d'écrivains.

Bien que Karl Waldmann soit disparu dans les années 1950 son œuvre n'a été découverte que récemment, à la fin des années 1980. Si cette œuvre s'impose immédiatement par sa force et sa beauté, c'est aussi sa singularité qui retient l'attention : entre Dada et le Constructivisme, sa place dans l'histoire de l'art parait singulière, singularité qui tient également au fait que cette œuvre est constituée essentiellement d'une forme d'expression marginale, le collage. Ce livre, le premier consacré au travail de Waldmann, présente une série d'études qui interrogent l'originalité de cette œuvre, son rapport à l'histoire de l'art, ses choix formels et thématiques, mais qui mettent également en évidence les questions que cette œuvre pose au sujet de la notion d'auteur, du rapport de l'art à l'Histoire et à la politique, du jugement esthétique, de la philosophie de l'art et de l'image. Par tous ces aspects, l'œuvre de cet artiste jusqu'alors inconnu apparaît étonnamment proche de certains des questionnements actuels de l'art et de la philosophie esthétique.

Karl Waldmann serait né entre 1890 et 1900 près de Dresde et aurait disparu en URSS vers 1958, sans doute dans un camp de travail. Son œuvre n'a été exhumée qu'après la chute du Mur de Berlin, comme l'une des dernières découvertes du constructivisme.

Textes de Jean-Philippe Cazier, Stéphane Massonet, Ange-Henri Pieraggi, Adnen Jdey, Fabien Defendini, Pascal Polar.

Publié avec Artvox édition, Bruxelles.

paru en mai 2011
21,8 x 22,6 cm (relié)
168 pages (99 ill. coul.)
ISBN : 978-2-916067-52-0